Les chantiers de la libération
Les ressources se raréfient et les conflits s’attisent
Les organisations s'épuisent dans une guerre économique qui enferme les hommes dans une domestication toujours plus subtile pour servir une société d'hyper production/consommation.
Nous risquons un burn-out collectif
Il est temps de se retrousser les manches
Comment libérer les entreprises du modèle de contrôle pour aller vers la confiance ?
Comment lutter contre les 4 cavaliers de l'apocalypse managériale : taylorisation, centralisme, bureaucratisation, stérilisation?
Comment passer de la domestication humaine à une éthique de l'accomplissement ?
Comment se libérer du centralisme pour vivre la complexité sans devenir fou ?
Comment se libérer de la division des tâches pour devenir des acteurs polymorphes guidés par le sens de l’action?
Comment passer d'une pratique de gabegie et de gaspillage aux principes de frugalité?
De la valeur de possession à la valeur d'usage, de l'obsolescence à la durabilité ?
Comment libérer les talents du gaspillage humain et honorer toutes les intelligences ?
Comment libérer de la souffrance pour faire de l'entreprise un lieu de joie, une alchimiste subtile qui respecte l'accomplissement personnel et celui du projet collectif ?
Comment se libérer de la stérilisation pour s’éclater dans l’innovation ? Se libérer des standards et brevets pour aller vers l'émergence et la coopération ?
Le chantier est immense, quelle chance nous avons !
Tout commence toujours par une nouvelle histoire, une histoire préférée partagée par quelques hommes. L’histoire de Jean-François Zobrist de l’entreprise FAVI raconte que « l'homme est bon », que nous pouvons ainsi faire l’économie des habituels et innombrables contrôles qui engluent l’entreprise et étouffent les motivations, que seule compte la création de valeur, que tout est possible lorsque des hommes s’engagent pour partager un rêve.