Transgresser pour changer de paradigme.
Avec tous nos talents, notre intelligence, la connaissance accumulée depuis l’apparition de l’homme sur Terre, n’avons-nous pas mieux à faire que ce que nous faisons aujourd’hui ?
Le combat silencieux qui se joue en ce début de siècle entre les modernistes qui rêvent d’une croissance verte et ceux qui transgressent (dans le sens passer de l’autre côté) pour participer au nouveau paradigme, porte l’enjeu de notre survie. Ceux qui passent de l’autre côté abandonnent l’anthropocentrisme où les besoins humains sont la finalité et le reste des espèces des ressources, pour un biocentrisme qui prend en compte l’ensemble de la biosphère et où l’humain doit agir dans le respect des équilibres.