Mon propos est de poser un regard à large spectre sur les enjeux du management du XXI siècle avec ma sensibilité d’anthropologue, d’accompagnante et d’exploratrice du futur.

L’enjeu de l’humanité est de réussir à évoluer vers la société de la connaissance, à s’engager dans la révolution de l’immatériel, à vivre l’intelligence collective.

En mettant en commun nos connaissances, en mettant en lien les sciences, les disciplines, en interprétant les signaux faibles, nous visitons le futur vers lequel nous glissons déjà.

Dans nos accompagnements, initier les dirigeants souvent prisonniers de leurs préoccupations à court terme, leur permet d'enrichir leur réflexion visionnaire.
Il n’y a ni vérité, ni certitudes ; seulement des perceptions, des intuitions, des directions que chacun doit interpréter là où il est et avec ce qu’il est.


Je vous invite à poser ici votre pierre pour imaginer une histoire du futur déjà là du management.

Mon intention n’est pas de changer le monde pour qu’il devienne plus beau et meilleur.

Mon intention est d’ÊTRE dans le monde ! Suivre le flux de la Vie et donc en comprendre la direction et être à son service.

Je ne crois pas que la bonté fera basculer l’humanité.
Mais la conscience et la responsabilité peut-être.

L’homme a déjà suffisamment changé le monde , nous devons maintenant le servir et respecter l'existence des autres espèces vivantes. Il nous faut comprendre où est notre place.
Cette mission ne s’accomplit pas avec des bonnes paroles mais avec une volonté à toujours se poser la question de notre finalité, de notre accomplissement.
Cette question se pose aux individus, aux groupes , aux entreprises. A quoi participons nous et pour quoi faire sont les questions qui m’intéressent. Dans cette direction, nous avons à créer un chemin pour nos propres pas.

Pour la bonté du monde, chacun y apporte sa part et sa responsabilité. L’homme est capable du meilleur comme du pire. C'est pour cela que je crois en notre capacité à changer de paradigme, à grandir dans la complexité.
Je crois en notre capacité à transformer la Terre en jardin, je crois en notre capacité à réussir bientôt des exploits d’adaptation auxquels aujourd’hui nous ne pensons même pas.